Il n’y a pas d’impact constaté sur les infrastructures en général, mais certains dommages ont été observés sur l’isolation extérieure de bâtiments. Les perruches creusent des ouvertures dans la première couche (enduit gratté ou bois) et s’installent dans l’isolation en laine de roche ou polystyrène.

Deux cas ont été constatés sur plusieurs bâtiments d’habitation d’une résidence au Plessis-Robinson et sur un bâtiment d’entreprise à Antony. Les préjudices sont notables puisque l’isolation n’est plus efficace au niveau des trous, les réparations sont coûteuses (accès par nacelle) et temporaires. Dans le cas du bâtiment d’Antony, les gestionnaires ont entrepris la mise en place de plaques de métal sur les trous, mais les perruches recreusent à côté. Le préjudice est aussi esthétique au niveau de l’aspect global du bâtiment.

En Allemagne également, les enduits sont percés par l’oiseau qui cherche à nicher dans l’isolation extérieure (plus de 30 couples installés à Heidelberg).